Anecdote – Mon plus gros Penis

Comme vous me l’avez demandé, voici donc l’article sur mon expérience avec un homme au pénis démesurément grand. Si on m’avait dit un jour que je me retrouverai à écrire une chose pareille, je ne l’aurais pas cru. Mais bon, comme beaucoup d’entre vous le savent, nous ne sommes plus à ça près, avec les articles hors du commun que je vous écris déjà.

Mon histoire

C’était un ami.

Quelqu’un avec qui j’aimais passer du temps et partager des moments sans aucune arrière pensée. Une relation purement amicale jusqu’au jour où ça a dérapé. Ce soir-là nous parlions tous les deux de nos précédentes relations qui venaient tout juste de se terminer, c’était un peu la soirée confidence.

Il avait besoin de se confier sur ses émotions et sur ce qu’il venait de vivre. Je pense que cet échange sincère est justement ce qui nous a rapprochés.

Ce soir-là, j’avais une libido de folie. Je me souviens encore du moment où je lui ai retiré ses vêtements. J’ai vu cette véritable batte de baseball de 26cm et d’un diamètre monstrueux pendouiller devant moi.

Pour être tout à fait honnête même si je n’ai jamais accordé une grande importance à la taille du pénis d’un homme, j’étais agréablement surprise. Car oui il faut se l’avouer, qu’on le veuille ou non, les films pornographiques et bien d’autres codes de notre société nous poussent à considérer les gros pénis comme quelque chose d’attirant et d’excitant. Alors bien évidemment j’étais tout à fait heureuse et satisfaite en voyant cela.

Je fais partie de ces femmes qui ont su explorer leur sexualité rapidement et qui n’ont pas eu beaucoup de limites en ce qui concerne les différentes expériences possibles. Alors la dilatation n’était pas pour moi quelque chose d’effrayant bien au contraire.

Après l’avoir déshabillé j’espérais profiter d’un long moment de caresse et de stimulation. De beaux préliminaires pour se mettre en jambe avant l’action. Surtout lorsque le partenaire en a une si grosse.

Après l’avoir déshabillé j’espérais profiter d’un long moment de caresse et de stimulation.

Heureusement ma forte lubrification naturelle m’a permise d’être prête car j’ai rapidement compris que les préliminaires n’étaient pas son truc. Je vous laisse imaginer à quel point j’ai été déçue en voyant qu’en plus du manque de préliminaire j’étais devenu une véritable poupée gonflable. Et vas-y que je fais des allers-retours et des va-et-vient sans m’arrêter, sans varier les mouvements, l’intensité ou la rapidité. Ni câlin ni baiser ni caresse ni autre stimulation physique ou verbale. Aucun échange de regard. Juste des mouvements de bassin avant éjaculation.

Évidemment il était très endurant et cela m’a paru durer une éternité.

Au bout de plusieurs dizaines de minutes ma belle lubrification n’était plus aussi abondante. J’étais véritablement sèche.

Mais cela ne l’a pas empêché de continuer sans se préoccuper de ce que je pouvais ressentir. À cette époque j’étais très jeune et je ne savais pas arrêté un rapport lorsqu’il ne me plaisait plus. Je n’osais pas le faire. Je n’étais pas capable de dire “Stop ça ne me plaît pas, faisons autrement, faisons différemment…”.

Quelques jours plus tard, je me suis remise en question. Peut-être qu’il n’était pas dans un bon jour. Je ne pouvais pas me permettre de juger notre connexion sexuelle en ne me basant que sur un seul rapport. Je lui ai donc laissé une nouvelle chance, puis encore une autre une semaine plus tard…

Ce fut donc plusieurs échecs.

Il n’était plus envisageable de continuer sur cette lancée. Il était temps d’arrêter cette relation. Une fois de plus je le répète, à cette époque j’étais jeune et incapable de comprendre que la communication était la clé. J’aurais dû échanger, j’aurais dû lui dire ce que j’aimais et ce que je n’aimais pas.

Quelques années plus tard, j’ai à nouveau eu l’occasion de passer une soirée seule avec cet homme qui malgré tout m’attirait toujours autant. À ce moment-là je me suis permise de lui expliquer ce que je ressentais concernant nos rapports sexuels de l’époque. Il n’était pas étonné car je n’étais pas la première à lui faire cette remarque. Et comme il me l’a expliqué, aucune de ces conquêtes n’a été capable de le guider… Il était perdu et ne savait pas ce qu’il devait faire. Ce n’est pas évident pour tout le monde, nous sommes tous différents. Je suis donc rentré dans les détails en lui expliquant pourquoi le sexe avec lui n’était pas quelque chose d’agréable (en tout cas pour moi).

Quelques années plus tard, j’ai à nouveau eu l’occasion de passer une soirée seule avec cet homme qui malgré tout m’attirait toujours autant.

La communication fut facile et à ce moment-là il entreprit de réparer cette erreur en me donnant enfin les orgasmes qu’il manquait lors de nos précédents rapports. Car oui, je n’avais jamais eu le moindre orgasme avec lui et n’avais jamais simulé non plus. Il le savait et à l’époque cela ne l’intéressait pas.

Grâce à notre discussion quelques années plus tard, nous avons pu recommencer et nous redécouvrir d’une manière tout à fait différente grâce à la communication. J’ai su le guider et il a su être à l’écoute. Plaisirs et orgasmes étaient enfin au rendez vous.

Moralité

Avoir un gros pénis n’est vraiment pas ce qu’il y a de plus important. Comme on le dit souvent, Il faut savoir s’en servir.

Comprendre et respecter son partenaire est essentiel c’est la base. Savoir être dans le partage et savoir être à l’écoute. Sans cela tu auras beau à voir le plus gros pénis qu’il soit, tu ne donneras pas forcément de plaisir à tes partenaires.

Et maintenant, si tu te poses des questions concernant les micropenis, j’ai écrit un article sur ce sujet récemment et je t’invite à le découvrir.

Tu verras que même dans le cas contraire, les rapports peuvent être surprenants.

J’espère que cet article sous forme de « storytime » t’a plu et je te donne rendez-vous bientôt pour un nouvel article.